La classe de troisième était froide, seule, morte même.
Escorté d'une amie et de l'obligatoire déléguée syndicale..
Mon pauvre petit coeur, le plus au neutre qu'il le pouvait..
J'y entrai...
Poussé par l'urgence d'y être le moins longtemps possible.
J'appuyai sur la touche "pilote automatique " et fit le tour..des différents endroits où se trouvaient mes affaires personnels.
La classe, telle que je l'avais connue, n'était plus.
Quand j'eus terminée, dans l'aire, attablée pour l'aide aux devoirs, comme une apparition du juste retour des choses.
Deux petits tournesols de mon ancienne classe, qui y étaient, même à distance, me regardaient, me surveillaient, me veillaient.
Et ceci n'est pas une métaphore.
Leurs sourires, fût la seule bonne chose de cette rude journée.
Ce court mois et demi, finalement, n'a existé, que pour eux, que pour ce que j'ai pu leur donner.
Et ces yeux..furtifs, vers les miens, me le confirma.
comme si la vie
1 commentaire:
Bonjour et je te souhaite d'être inspiré vers les nouveaux horizons qui t'attendent
J'ai pensé à toi le semaine dernière quand je me suis rendue rencontrer 4 groupes de 4e année pour leur parler des fossiles du site fossilifère de Miguasha ...C'était la Société des nations!!.
Autrement, donne des nouvelles et bel automne!!
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