dimanche 10 août 2008

Ce visage de toutes ls vérités

Dire que j'ai aimé ce grand bout de femme serait un bebête euphémisme.
Je l'ai adoré...

Son départ pour l'autre rive, une nuit de mars 2005, a laissé,sur le coup, son entourage dans la pure catastrophe !

Notre peine se ramassait à la pelle, comme les feuilles mortes de la chanson, qu'elle affectionnait..

Je crois, qu,il y a de ces pertes, dont nous nous remettons jamais, entièrement.

À suivre....





A vec Olivia, cette tant aimée, trésor à quatre pattes, que nous avons pleuré pendant des années. Dans mon cas, seule l'arrivée de coralie, dans ma vie, a tarit, raisonnablement, ce chagrin coupable.



Linda, toute petite, avec le chien de sa mémé Arseneault, je crois, au N. - B.




Ce sourire taquin, coquin. ce sourire de petite fille éternelle qu'elle était. Au baptême de mon neveu, Jérémy.
à dégelis, dans la cour de Thérèse. J'adore cette photo. Cette chère était une beauté. Nulle autre photo ne témoigne autant de cette beauté.

ici, avec son grand-père leblanc, le père de sa mère Gisèle. Elle disait de lui qu'il était la douceur-même.



Le père naturel de Linda, Albéo, disait de cette Linda, qu'elle était le portrait craché de sa mère naturelle, Laurette Arseneault. Merci à vous deux, d'avoir mis au monde cette merveille.


Cette photo fut prise rue pathernias, notre véritable premier nid, ensemble.





Ce faciès angulaire, qui porte toute l'émerveillement du monde, en lui.
Ce soir-là, nous étions allé voir les parapluies de Cherbourg, mis en sène par René-Richard Cyr, à jioliette, et en s'y rendant, il pleuvait à boire debout. C'était trop drôlatique. Stella, notre voiture, aurait bien eue besoin d'un parapluie. À ce jour, cette photographie, est la meilleure de nous deux, jamais produite.
Linda était Belle, surtout à l'intérieur, mais l'estérieur, voyez par vous-mêmes, était mirifique, non ?
Je me suis fiancé à elle, le 17 août 1991. C'était un engagement éternel...

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