L'émeute à Montréal-Nord, survenue le 10 août en réaction à la mort du jeune Fredy Villanueva lors d'une intervention policière, est le résultat de l'échec du milieu scolaire au Québec, clame Mario Dumont chef de l'Action démocratique. Selon lui, une discipline plus rigoureuse dans nos écoles aurait éviter le drame, qui rapellons-le, a quand même fait une victime. 
Il en rajoute en affirmant que le port de l'uniforme et des ressources supplémentaires consacrées aux activités parascolaires seraient la panacé qu'il nous manque, au Québec actuellement, pour vivre dans une société plus paisible et sécuritaire. Vlan ! Le beau raccourci. Le numéro 1.
Il en rajoute en affirmant que le port de l'uniforme et des ressources supplémentaires consacrées aux activités parascolaires seraient la panacé qu'il nous manque, au Québec actuellement, pour vivre dans une société plus paisible et sécuritaire. Vlan ! Le beau raccourci. Le numéro 1.
Un jeune bien encadré à l'école ne sera pas attiré vers les méchants gangs de rue. Raccourci numéro 2. 
"Je ne peux dissocier ce qui est arrivé à Montréal-Nord d'un échec de notre milieu scolaire. Quand, à 15 ans, des jeunes décident de mettre sur leur dos le manteau du gang de rue plutôt que celui d'un club sportif de l'école, on a un problème», a affirmé Mario Dumont. Raccourci numéro 3
Le Québec doit, selon lui, reproduire l'exemple américain en cette matière. "Dans plusieurs endroits, le high school américain, c'est un modèle." Raccourci numéro 4
Pour lui, le privé a le monopole de l'application de la discipline dans notre système scolaire. Raccourci numéro 5
Apprès tous ces lieux communs et solutions à l'emporte -pièce, Dumont et sa "gang " nuancent davantage, surtout, dans l'identification du problème, car problème il y a , tout de même, je le sais, pour fréquenter "les écoles" assidument depuis près de 25 ans, comme enseignant.
«Un jeune, ça a besoin d'encadrement, de discipline, d'un cadre de vie avec des règles», a-t-il dit. Gros bons sens numéro 1
S'il était à la tête de l'État, ce qu'il souhaite ardemment, il investirait davantage dans les infrastructures sportives et les activités parascolaires, des initiatives susceptibles de développer chez les jeunes un «sentiment d'appartenance» à leur école, a affirmé Mario Dumont. Gros bon sens numéro 2
Résultat final : 5 à 2
Le bon sens, la profondeur, ne l'emporte donc pas sur la répression. Dommage!
Bonne journée !
"Je ne peux dissocier ce qui est arrivé à Montréal-Nord d'un échec de notre milieu scolaire. Quand, à 15 ans, des jeunes décident de mettre sur leur dos le manteau du gang de rue plutôt que celui d'un club sportif de l'école, on a un problème», a affirmé Mario Dumont. Raccourci numéro 3
Le Québec doit, selon lui, reproduire l'exemple américain en cette matière. "Dans plusieurs endroits, le high school américain, c'est un modèle." Raccourci numéro 4Pour lui, le privé a le monopole de l'application de la discipline dans notre système scolaire. Raccourci numéro 5
Apprès tous ces lieux communs et solutions à l'emporte -pièce, Dumont et sa "gang " nuancent davantage, surtout, dans l'identification du problème, car problème il y a , tout de même, je le sais, pour fréquenter "les écoles" assidument depuis près de 25 ans, comme enseignant.
«Un jeune, ça a besoin d'encadrement, de discipline, d'un cadre de vie avec des règles», a-t-il dit. Gros bons sens numéro 1
S'il était à la tête de l'État, ce qu'il souhaite ardemment, il investirait davantage dans les infrastructures sportives et les activités parascolaires, des initiatives susceptibles de développer chez les jeunes un «sentiment d'appartenance» à leur école, a affirmé Mario Dumont. Gros bon sens numéro 2
Résultat final : 5 à 2
Le bon sens, la profondeur, ne l'emporte donc pas sur la répression. Dommage!
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