La Ville de Montréal met à l'essai un nouveau bac vert. En fait, il s'agit d'un panier vert d'une capacité supérieure à celle des bacs existants, soit 72 litres contre une capacité variant de 55 à 64 litres pour les bacs actuels.
3000 paniers fabriqués au Québec sont testés dans trois arrondissements pour une durée de 12 semaines : Côte-des-Neiges/Notre-Dame-de-Grâce, Plateau Mont-Royal et Verdun. Le nouveau bac est plus léger et empêche les déchets de se répandre parce qu'il est fermé.
Si l'expérience est concluante, le projet sera étendu à toute la ville l'an prochain.
Le responsable du développement durable et de l'environnement à la Ville de Montréal, Alan De Sousa, affirme que l'objectif poursuivi est d'augmenter le recyclage. Il ajoute que ce nouvel outil de recyclage attirera une clientèle différente: les citoyens qui refusent de faire du recyclage pour toutes sortes de raisons.
Pendant la période d'essai, des inspecteurs interrogeront les citoyens sur le nouveau modèle: les problèmes qu'il crée, la nature de son utilisation, sa fiabilité, sa résistance, sa stabilité.
Les citoyens eux-mêmes vont nous donner les commentaires. En conséquence, ça nous donne encore le temps de faire des améliorations avant que le produit final soit mis sur le marché.
— Alan De Sousa, responsable du développement durable et de l'environnement à la Ville de Montréal
M. De Sousa croit que, le cas échéant, ce produit pourrait intéresser toutes les municipalités du Québec.
3000 paniers fabriqués au Québec sont testés dans trois arrondissements pour une durée de 12 semaines : Côte-des-Neiges/Notre-Dame-de-Grâce, Plateau Mont-Royal et Verdun. Le nouveau bac est plus léger et empêche les déchets de se répandre parce qu'il est fermé.
Si l'expérience est concluante, le projet sera étendu à toute la ville l'an prochain.
Le responsable du développement durable et de l'environnement à la Ville de Montréal, Alan De Sousa, affirme que l'objectif poursuivi est d'augmenter le recyclage. Il ajoute que ce nouvel outil de recyclage attirera une clientèle différente: les citoyens qui refusent de faire du recyclage pour toutes sortes de raisons.
Pendant la période d'essai, des inspecteurs interrogeront les citoyens sur le nouveau modèle: les problèmes qu'il crée, la nature de son utilisation, sa fiabilité, sa résistance, sa stabilité.
Les citoyens eux-mêmes vont nous donner les commentaires. En conséquence, ça nous donne encore le temps de faire des améliorations avant que le produit final soit mis sur le marché.
— Alan De Sousa, responsable du développement durable et de l'environnement à la Ville de Montréal
M. De Sousa croit que, le cas échéant, ce produit pourrait intéresser toutes les municipalités du Québec.
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