Le matin du 8 août 1988, les journaux relayaient une curieuse manchette : la Chine entière connaissait une "épidémie" de mariages, car ce jour-là, le huitième jour du huitième mois de l’année 88, devait apporter bonheur et prospérité. Au Québec, ce fut plutôt jour de deuil. Coïncidence. À 8h08 du matin, raconte-t-on, Félix Leclerc décédait sur son île d’Orléans chérie, au large de la capitale.
source http://www.rfimusique.com/
L’héritage du poète de l’île sera davantage mis en valeur grâce au projet d’expansion de l’Espace Félix-Leclerc, qui prend un coup de jeune!
À quelques jours de la commémoration du 21e anniversaire de sa mort (le 08-08-88 : aujourd'hui ), sa fille, Nathalie Leclerc, avait de bonnes nouvelles à communiquer, hier, à l’intérieur de sa boîte à chansons, à l’entrée de l’île d’Orléans, surplombée du musée dédié à la mémoire de son père.
D’abord, en plus de nous montrer le bureau de travail de Félix, le musée est maintenant agrémenté d’un présentoir qui représente une scène garnie d’une guitare et d’un chandail ayant appartenu à Félix et un microphone d’époque. « J’ai l’impression de voir surgir mon père de la scène», déclarait avec le sourire Nathalie Leclerc.
Après consultation auprès du muséologue Marcel Rancourt (GID Design), il a été convenu de profiter de la magie numérique pour ajouter une section qui vient présenter de façon plus dynamique les contes, les poèmes et les chansons du Grand Félix.
Ces changements ont pour but de faire découvrir aux plus jeunes l’oeuvre du poète, et de créer des liens entres ses textes et la réalité d’aujourd’hui. « Son oeuvre toujours aussi vivante devrait inspirer les jeunes », a insisté le muséologue, heureux d’avoir participé à la « réactualisation » de l’exposition permanente.
Par ailleurs, dans les prochains jours, seront entrepris des travaux de réaménagement des Sentiers d’un flâneur, qui offrent un parcours enchanteur à travers la terre que possède la fondation Félix-Leclerc, et qui s’étend du chemin principal au fleuve.
Que ce soit à travers le boisé, l’érablière, les champs cultivés, la falaise, les berges et les battures, les visiteurs découvriront l’environnement insulaire où Félix a vécu ses 25 dernières années. ( oh lala. je ne savais pas. Je n'y suis jamais alé. «Vivement l'été prochain. )
À quelques jours de la commémoration du 21e anniversaire de sa mort (le 08-08-88 : aujourd'hui ), sa fille, Nathalie Leclerc, avait de bonnes nouvelles à communiquer, hier, à l’intérieur de sa boîte à chansons, à l’entrée de l’île d’Orléans, surplombée du musée dédié à la mémoire de son père.
D’abord, en plus de nous montrer le bureau de travail de Félix, le musée est maintenant agrémenté d’un présentoir qui représente une scène garnie d’une guitare et d’un chandail ayant appartenu à Félix et un microphone d’époque. « J’ai l’impression de voir surgir mon père de la scène», déclarait avec le sourire Nathalie Leclerc.
Après consultation auprès du muséologue Marcel Rancourt (GID Design), il a été convenu de profiter de la magie numérique pour ajouter une section qui vient présenter de façon plus dynamique les contes, les poèmes et les chansons du Grand Félix.
Ces changements ont pour but de faire découvrir aux plus jeunes l’oeuvre du poète, et de créer des liens entres ses textes et la réalité d’aujourd’hui. « Son oeuvre toujours aussi vivante devrait inspirer les jeunes », a insisté le muséologue, heureux d’avoir participé à la « réactualisation » de l’exposition permanente.
Par ailleurs, dans les prochains jours, seront entrepris des travaux de réaménagement des Sentiers d’un flâneur, qui offrent un parcours enchanteur à travers la terre que possède la fondation Félix-Leclerc, et qui s’étend du chemin principal au fleuve.
Que ce soit à travers le boisé, l’érablière, les champs cultivés, la falaise, les berges et les battures, les visiteurs découvriront l’environnement insulaire où Félix a vécu ses 25 dernières années. ( oh lala. je ne savais pas. Je n'y suis jamais alé. «Vivement l'été prochain. )
Les chants de la Félixité
À compter de dimanche, et pour une semaine, l’Espace Félix-Leclerc présentera la cinquième édition de l’événement Les chants de la Félixité. Le jeudi 6 août, on y recevra notamment Tomas Hellman, qui viendra présenter son nouveau spectacle, Prêt, partez.
Le samedi 8 août, Richard Joubert, ancien journaliste à Radio-Canada, viendra proposer des textes écrits par Félix et d’autres qui l’avaient inspiré. De plus, deux fois par jour, on diffusera le spectacle Félix Leclerc, L’homme de parole, présenté, l’an dernier, à Montréal, par une quinzaine d’artistes, dont Michel Rivard, Daniel Boucher, Chloé Sainte-Marie, Fred Pellerin et Richard Séguin.
La programmation régulière de l’Espace Félix-Leclerc alignera France D’Amour (31 juillet), Urbain Desbois (1er août), Antoine Gratton (15 août), Guillaume Gagnon (22 août), Coeur de pirate (25 août) et Simon Goldin (29 août).
En septembre, défileront Coral Egan (le 5), Daniel Lavoie (le 10), et le trio Simon Petit, Christian Sbrocca et Bruno Labrie (le 12). Également à venir sur l’Île : Susie Arioli, les 6 et 7 novembre, et Catherine Major, le 21 novembre.
pierreo.nadeau@journaldequebec.com
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