dimanche 18 octobre 2009

Prête-moi ta plume, pour écrire un mot 2









P'tit maître d'amour de papa,



On peut dire que toi tu sais me faire plaisir.



Tu sais ce que j'aime.



Et ton coeur n'est jamais assez grand pour me contenter.



Tu pourrais me donner la lune.



Me gâter, pour te faire plaisir, en premier..



De mille façons.



Beaucoup de propiétaires de chiens le font.



Pas toi. Très peu.



Les nanannes. Les os à chien de toutes les couleurs. Les bebelles sonores. Les gagets à canins inutiles et non-durables.



Tu pourrais me donner un Mondou complet à moi tout seul, et tu ne le ferais même pas.



Le pire, c'est que cela ne te ferait même pas plaisir.



Tu sais très bien que je me tanne bien vite de ce genre de jouet.



Que je préfère l'action réelle aux jeux insignifiants et inutiles.



Chez mondou, quand on y allait, quand on avait un char, notre Stella, ce que j'aim ais, c'était faire le plein d'affection avec le personnel, aller derrière le comptoir de la caisse recevoir quelques friandises, me sentir la reine de la place, en attention et en caresse.



Parlant de friandises, il y en a toujours à la maison..mais tu ne m'en donnes pas des tonnes.



Tu sais que je préfères certains morceux charnus ou sucrés de tes assiettes.



Les chips, les croustilles..



etc..



Tu te retiens, je le sais, je le sens.



Tu penses à ma santé, à ma shape. Tu veux me garder en vie, le plus longtemps possible.



Je pourrais ÊTRE PLUS sarf si je voulais..



Tu le sais. Tu le sens.







L'amour incontionnel, le besoin de protéger mon monde, toi surtout,



me sentir en sécurité dans mon petit coeur, mon espace vital, courir dans la cours, quelques minutes par jour, sortir dehors, aller marcher avec toi, dans la nature, mon cher ange gardien de papa, comme cet après-midi au Parc Régional.







Là, tu m'as fait plaisir.



Tu sais que lorsque je déambule, en toute liberté, sans laisse. Que tu me laisses être chienchien , lâchée lousse dans la nature à me jeter dans les mares, etc..



Que je suis complètement heureuse.



Mais as-tu remarqué, que je te devances, dans ma course, que je pars à l'épouvante.



Mais que moins d'une ou deux minutes plus tard, je me retourne, je te regarde, et je m'élance, me relance vers toi...







À suivre...



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