- Elle provient du syndicat.
- Discussion, une heure au telephone hier matin..
- De sa part : Ecoute, questionnement pertinent, témoignage de sympathie, compréhension, initiative d'aide, expression d'indignation : enfin un beau festival d'espoir.
Elle propose même de réféléchir à la possibilité e contacter la régie des logemments et l'assurance -groupe qfin que je puisse avoir accès à des médicaments et à de la patience ( la régie ) le temps que le grief soit entendu et la décision rendue. Ce qui peut prendre encore quelques temps.
Oui une demande de grief à plusieurs volets sera lançé sous peu contre mon employeur : Concernant ma rétrogration prématuré ( après seulemment quatre semaines, on décide que je ne suis pas un non enseignant au primaire, et cela pour toujours..), ma mise en congé sans solde illégale et cavalière et cela à deux jours d'avis, et finalemment pour le refus intransigeant de reconnaître ma maldie et de m'octroyer l'assurance à laquelle j'ai droit.
En début de semaine, je me plaignais en haut lieu, de l'inertie de syndicat local à véritablemment m'aider. Cela a porté fruit.
Cela commençe enfin à bouger !
P.s : J'ai reçu ma première prestation d'assurance-emploi, hier. Mensuellemment, et pour une durée de 15 semaine, je recevrai l'équivalent de ce que l'aide-sociale m'offrirait. Pas mal, hein, cela pour un enseignant de 26 ans d'expérience, permanent à sa commissions scolaire et syndiqué, par surcroît.
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