Bleu cœur
De la couleur d’un ciel nu
Bleu
Nu-tête
De la couleur du cœur
Les nuages se sont tus
Il n’y a plus de gris
Plus de gris-noir
Sans fins
Il n’y a que du blanc infiniment
Et des anges en cohorte
Du ciel sur la terre
De la mer bleue pure large
A boire
A rire
A horizonner
Il fait bon vivre
Fait vrai vivre
Fait beau à deux
Sans oublier le chant des oiseaux
Il fait deux sur la terre
Doux deux
Deux doux êtres
S’aimentent
Se fermentent
Se creusent dans le feu
Se désabîment
S’allument
Se débrument
Se remplument
Se donnent de l’eau comme du lait
De l’amour comme de l’eau de vie
L’amour-d’air
L’amour d’aide
Ils s’entraiment
S’entraînent dans le bleu de l’eau
De l’autre
Dans le creux de l’aube de l’autre
Dans le bleu cœur
Les larmes de la solitude n’aversent plus
L’espérance à venir est déjà là
La paix coule dans les veines
Comme le sang
Les heures sont des émeraudes à chérir
Les matins des plages de sable
Où l’on s’étend à merveille
Des nuits de cocons à n’en plus finir
La patience à l’attendre éveillé
26-27 décembre 96 – 29 juillet 09
De la couleur d’un ciel nu
Bleu
Nu-tête
De la couleur du cœur
Les nuages se sont tus
Il n’y a plus de gris
Plus de gris-noir
Sans fins
Il n’y a que du blanc infiniment
Et des anges en cohorte
Du ciel sur la terre
De la mer bleue pure large
A boire
A rire
A horizonner
Il fait bon vivre
Fait vrai vivre
Fait beau à deux
Sans oublier le chant des oiseaux
Il fait deux sur la terre
Doux deux
Deux doux êtres
S’aimentent
Se fermentent
Se creusent dans le feu
Se désabîment
S’allument
Se débrument
Se remplument
Se donnent de l’eau comme du lait
De l’amour comme de l’eau de vie
L’amour-d’air
L’amour d’aide
Ils s’entraiment
S’entraînent dans le bleu de l’eau
De l’autre
Dans le creux de l’aube de l’autre
Dans le bleu cœur
Les larmes de la solitude n’aversent plus
L’espérance à venir est déjà là
La paix coule dans les veines
Comme le sang
Les heures sont des émeraudes à chérir
Les matins des plages de sable
Où l’on s’étend à merveille
Des nuits de cocons à n’en plus finir
La patience à l’attendre éveillé
26-27 décembre 96 – 29 juillet 09
En général, les gens ne comprennent pas grand chose à ma poésie. Cela crée un malaise. Pourtant c'est plein de moi exprimé. Ne pas chercher à comprendre le sens de mes mots me blesse, parfois. C'est comme si on ne voulais pas entendre l'essence de mon être, ma fibre poétique. Enfin...
Je dois avoir hâte de retomber en amour,aussi, en ayant choisi de publier ce texte, aujourd'hui..
1 commentaire:
*ta poésie est très forte, créative et va à l’Essentiel…
Je t’encourage à poursuivre….
Bonne route poétique…
Bonne route tout court aussi…
Enregistrer un commentaire