Voici une republication d'un article d'il y'a pas longtemps.
Ses images étaient coupées au montage - quelque peu - .
Et je m'en voulais de ne pas avoir dûment identifiés les comédiennes et les comédiennes, chers à mon coeur, sur les photos.
Dédicace à Patricia,
c'est sur le site qu'elle dédie avec une belle sincérité à Gilles Latulippe ( http://latulippefan.ca ) que j'ai déniché, ce bijou : le programme de Bousille..tel que ses spectateurs le lisaient à la Comédie Canadienne à partir du mois d'août 1959- l'actuel Théâtre du Nouveau Monde - dans leurs bancs avant que le rideau ne tombe sur ..l'histoire. Ils ne devaient même pas l'imaginer.
Ses images étaient coupées au montage - quelque peu - .
Et je m'en voulais de ne pas avoir dûment identifiés les comédiennes et les comédiennes, chers à mon coeur, sur les photos.
Dédicace à Patricia,
c'est sur le site qu'elle dédie avec une belle sincérité à Gilles Latulippe ( http://latulippefan.ca ) que j'ai déniché, ce bijou : le programme de Bousille..tel que ses spectateurs le lisaient à la Comédie Canadienne à partir du mois d'août 1959- l'actuel Théâtre du Nouveau Monde - dans leurs bancs avant que le rideau ne tombe sur ..l'histoire. Ils ne devaient même pas l'imaginer.
Cette image me bouleverse hors de l'ordinaire. Je ne l'avais jamais vue auparavant. Elle me hantera, désormais.
Elle restitue tout ce que Bousille est pour moi, quand il réalise son malheur d'avoir menti : la honte, la fatigue morale et existentielle, la mort à venir.
Cette pièce est un chef-d'oeuvre..encore trop méconnu.
je t'aime Bousille. Je t'aime Gratien.
Je ne t'aimerai jamais, la complaisance !
Dans la toute première version, Bousille décédait à la fin sur scène. Gélinas n'étant pas convaincu d'être aussi explicite, décida, assez rapidement je crois, de couper la scène. Dans la deuxième et définitive version de sa pièce...On mentionne sa mort sans nous la montrer. C'est la dernière réplique de l'oeuvre.
Elle restitue tout ce que Bousille est pour moi, quand il réalise son malheur d'avoir menti : la honte, la fatigue morale et existentielle, la mort à venir.
Cette pièce est un chef-d'oeuvre..encore trop méconnu.
je t'aime Bousille. Je t'aime Gratien.
Je ne t'aimerai jamais, la complaisance !
Dans la toute première version, Bousille décédait à la fin sur scène. Gélinas n'étant pas convaincu d'être aussi explicite, décida, assez rapidement je crois, de couper la scène. Dans la deuxième et définitive version de sa pièce...On mentionne sa mort sans nous la montrer. C'est la dernière réplique de l'oeuvre.
3 commentaires:
Je vais tenter de réduire le volume de ces photos, bientôt..afin de leur rendre justice..
A la création, Bousille mourrait à la fin de la pièce, mais Gratien Gélinas a modifié ça après quelques représentations. Selon Gilles Latulippe, c'était bien meilleur après.
Ah oui, c'est vrai...
J'avais oublié. Le personnage mourrait sur scène ?
C'est cela la photo..ok..
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