Rue Vaudreuil, Arvida PQ. À l'âge de mes 4 ans. Environ environ. Le laitier du quartier est matinal et m'émerveille. Il me donne soif. Il est mon ami. Surtout à cause de son chocolat. C'est de ce chocolat liquide que je me souviens le plus. Les pintes en vitre qui entrent à la maison sont plus blanches que brunes. pour mon plus grand malheur !! Chaque fois, aujourd'hui, que je bois de lait chocolatée,j'ai une pensée pour ma rue de la petite enfance, pour ce laitier d'antan.
Et je regrette toutes ces belles petites visites amicales et régulières que nous faisaient les laiteries, les boulangeries, les pâtisseries et autres marchands de liqueur , de fruits et de légumes. J'ai en connu que les derniers balbutiements...
De nos jours, on va au dépanneur ou au super super-marché individualistes et froids.
Je revois maman, mettre le petite carton pour le pain ou le lait,dans la fenêtre principale de la maison. Quand il était à l'endos, c'était l'espoir de gâteries pour la petite dent sucrée que j'étais déjà..
Voici quelques clichés pour immortaliser ce vieux métier moribond.
Celui d'ailleurs et d'ici, à Arvida - je dis ici, maintenant, puisque j'y vis -.
- et aujourd'hui -
Et je regrette toutes ces belles petites visites amicales et régulières que nous faisaient les laiteries, les boulangeries, les pâtisseries et autres marchands de liqueur , de fruits et de légumes. J'ai en connu que les derniers balbutiements...
De nos jours, on va au dépanneur ou au super super-marché individualistes et froids.
Je revois maman, mettre le petite carton pour le pain ou le lait,dans la fenêtre principale de la maison. Quand il était à l'endos, c'était l'espoir de gâteries pour la petite dent sucrée que j'étais déjà..
Voici quelques clichés pour immortaliser ce vieux métier moribond.
Celui d'ailleurs et d'ici, à Arvida - je dis ici, maintenant, puisque j'y vis -.
-hier-
- et aujourd'hui -
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