mercredi 24 septembre 2008

Le « savoir vivre », base de la démocratie ?

Le « savoir vivre » malgré ses steppettes, ses simagrées, ses courbettes, et son côté premièr de classe nest aussi pas innocent quil n'y paraît..Qu'on le traite de convenue, têteux ou d'hypocrite. Il garde la tête haute, siècle après siècle pour persister et signer. S'il a survécu depuis si longtemps, c,est qu'il n'est pas être si arriéré que cela. S'il veut donner sens, et une direction à nos faits et gestes du quotidien, il doit bien en posséder un, intrinsèquement, selon toute logique.

Sans lui, la vie en société, même si elle n'est pas toujours de tout repos serait un véritable chaos, rien de moins. Et en sus, la rendre plus agréable, plus chill- comme diraient mes élèves - et même plus excitante "S’il ne s’agissait que de la rendre possible, la convention suffirait. Et l’hypocrisie serait l’hommage que le vice rend à la vertu. Mais il s’agit surtout que la « vie ( ensemble) », le commerce avec les autres, donne envie d’y participer et de s’y impliquer." clame Alain autre blogueur et philosophe social de si belle façon.


Toujours selon Alain , "le savoir-vivre a même une dimension politique car il tente d'exclure de l’espace public l’intolérance, le sectarisme, les jugements sur les personnes, donc le sexisme et le racisme (y compris le racisme social). "
"Il exige envers et contre tous l’EGALITE en droit au respect et à la reconnaissance de la qualité d’être humain de chacun. "

La démocratie ne pourrait exister, sans le plaisir de se retouver ensemble, sans la sociabilité. Bien-sûr qu'il y'a une forme de normativité dans le fait démocratie, A moins d'envisager cette question, du seul point de vue de la liberté individuelle ou de l'agir anarchique. La liberté d,expression touche les contenus, tandis que la civilité, les contenants.
On s'en rejase...

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