vendredi 26 mars 2010

La suite de la suite de la nouvelle pour tuer mon père une fois pour toutes.


La mort avec ton humiliation en compagnie de la visite : tu mentais, tu enjolivais la réalité, et ta réalité devenait La référence pour elle.

Ah cette frauduleuse foi, où tu avais fait « accroire » à la rue entière, que j’avais tenté de vous volez, dans l’appartement. Que j’étais entré par effraction, car tu avais barré la porte ; j’étais malade, il fallait que j’aille m’étendre. Tu as crié à qui voulais l’entendre que je n’étais qu’un petit crisse de bandit

Je pourrais poursuivre la liste, mais je ne le ferai pas. Parler de toi, c’est un peu te ressusciter. Restes mort, Faux pôpa,pôpa de pacotille, tu fais moins de grabuges aux cœurs des gens, de cette façon.

Le pire assaut mental subit par toi, fut celui, au restaurant du coin. Dix-quinze ans après les massacres.

-" Tout ce que tu viens de me dire, mon garçon ( ???? ), est un mensonge, une invention de ta part. Tu n’as pas changé. Tu cherches toujours à te rendre aussi intéressant ! Salaud ! Et sourd."

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