« Tu es atteint de peur généralisée, chronique, anachronique. Et tu te perds dans tes sensations d’en être certain. Tu erres sans savoir que tu sais. Ton cri est aphone et tes traces invisibles. »
« Tu palpes ton existence. Mais sans la toucher vraiment. Tu ne sais que l’embellir d’adjectifs délicats. Et menteurs par-dessus le marché. »
Car elle fait ça comme une prière. Ça n’arrive jamais à point nommé. Mais trop avant, ou trop après. Qui a trop soif, boit mal ou trop. Ou ne sait plus qu’il a soif. Maîtriser ses prières, ses incantations, ce n’est pas souvent suffisant. Le ciel est loin de la terre.
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