Depuis la mort prématurée et soudaine, de l'une de leurs congénères, les bernaches de mon Parc s'isolent. Elles sont au marais, à l'autre bout du site, et ce depuis samedi, en fait. Je soupçonne l'humain d'être l'auteur du décès. Car il me semble, que ces dernières si sociables, si présentes, soient devenus tout à coup méfiantes et rancunières.
p.s : L'oison à l'aile cassée dont je vous ai déjà parlé vit actuellement dans un refuge et reçoit de bons soins. C'est à suivre. J'avais fait une proposition dans ce sens là aux autorités du Parc. Peut-être m'ont-elles écouté.
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