samedi 31 octobre 2009

Merci Lorraine : Elle se reconnaîtra.

La maison de Félix Leclerc devient monument historique

Située au 186 du chemin de l'Anse à... (Photo : Fondation Félix Leclerc)

Située au 186 du chemin de l'Anse à Vaudreuil-Dorion, la maison de ferme datant de la fin du XIXe siècle a été acquise par Félix Leclerc en 1956, et l'artiste y a vécu pendant 10 ans avec sa famille


(Vaudreuil-Dorion) La ministre de la Culture, des Communications et de la Condition féminine, Mme Christine St-Pierre, a annoncé aujourd'hui, en présence du député de Vaudreuil et vice-président de la Commission de l'administration publique, M. Yvon Marcoux, le classement de la maison Félix-Leclerc à titre de monument historique, en vertu de la Loi sur les biens culturels.

« Ce lieu témoigne de la créativité d'un des plus grands poètes que le Québec ait connus et représente non seulement une source de fierté, mais aussi d'inspiration. Il constitue une richesse patrimoniale inestimable pour les Québécois et les Québécoises», a déclaré la ministre St-Pierre.

« Je tiens à remercier les intervenants de la Société de sauvegarde de la mémoire de Félix Leclerc ainsi que ceux de la Ville de Vaudreuil-Dorion qui se sont mobilisés pour la conservation et la mise en valeur de ce site», a ajouté le député de Vaudreuil et vice-président de la Commission de l'administration publique, M. Marcoux.

Située au 186 du chemin de l'Anse à Vaudreuil-Dorion, cette maison de ferme datant de la fin du XIXe siècle a été acquise par Félix Leclerc en 1956, et l'artiste y a vécu pendant 10 ans avec sa famille. Citée monument historique par la Municipalité en 1991 et constituée site du patrimoine en 2006, la maison de Félix Leclerc, dont les intérieurs sont restés intacts depuis que l'artiste y a résidé, a été un lieu d'inspiration pour ses plus grands succès comme Moi mes souliers, Le P'tit Bonheur et L'Hymne au printemps.

La Société de sauvegarde de la mémoire de Félix Leclerc s'est donné comme mandat de sauvegarder, de restaurer et de préserver la demeure tout en mettant en valeur les aspects culturel, patrimonial, artistique et touristique de l'endroit. Devenu propriétaire de la demeure en 2006, l'organisme a élaboré l'année suivante un plan de conservation et de mise en valeur de la propriété visant la restauration de la maison et de l'atelier adjacent ainsi que la reconstruction de la grange pour la création d'un théâtre.

Je vous citrouille un beau gros coucou orangé !!!




vendredi 30 octobre 2009

Les séropositifs pourront retourner aux É-U


Barack Obama.      ... (Photo AFP)

Agrandir

Barack Obama.

Photo AFP

Associated Press

Les séropositifs vont pouvoir se rendre aux États-Unis. Le président Barack Obama a annoncé vendredi qu'il finaliserait lundi l'ordre levant l'interdiction d'entrer sur le territoire américain qui les visait depuis plus de 20 ans, terminant ainsi le processus entamé par son prédécesseur George W. Bush.

Les États-Unis font partie de la dizaine de pays qui refoulent les touristes ou immigrants porteurs du virus du SIDA.

«Il y a 22 ans, par une décision fondée sur la peur plutôt que sur les faits, les Etats-Unis ont instauré une interdiction d'entrer sur le territoire pour ceux qui étaient porteurs du virus du sida. Nous parlons de faire disparaître le stigmate que représente cette maladie, mais cela ne nous a pas empêchés de traiter comme une menace ceux qui vivaient avec et qui nous rendaient visite», a déclaré M. Obama.

Le président Obama a fait cette annonce lors de la signature à la Maison-Blanche de la prorogation du programme Ryan White de 1990 pour la fourniture de soins, traitements et services à environ un demi-million de personnes séropositives et malades du SIDA à faible revenu pour la plupart.


Il en a fait du tort à l'humanité, ce W.Bush.

Il était temps que le bon sens se rétablisse. Seigneur !

Steven Spielberg travaille sur une comédie musicale pour Showtime




Après United States of Tara, le grand réalisateur américain Steven Spielberg pourrait travailler très prochainement à nouveau avec la chaine Showtime via son studio Dreamworks. Le célèbre réalisateur de E.T. et Il faut sauver le soldat Ryan notamment, développerait avec les producteurs Justin Falvey et Darryl Frank (Tara) une chronique de la vie d’une comédie musicale, depuis sa genèse jusqu’à sa première à Broadway.




Mais l’entreprise ne s’arrête pas là : l’objectif est ensuite de monter réellement sur scène le spectacle de la série...Les producteurs Craig Zadan et Neil Moron et les compositeurs Marc Shaiman et Scott Wittman sont sur le point de rejoindre le projet. Ces deux derniers, qui ont adapté en spectacle le film Attrapes moi si tu peux (réalisé par Spielberg), ont la particularité d’avoir déjà travaillé avec les deux premiers sur le remake au cinéma de la comédie musicale Hairspray en 2007.

L’équipe est actuellement à la recherche de scénaristes pour créer la série. Celle-ci dépeindra l’envers du décor de toutes les étapes du processus de création d’une comédie musicale, depuis l’écriture des chansons jusqu’au recrutement des investisseurs. Le récit sera raconté selon de multiples points de vue et les vies personnelles de certains personnages-clé seront mises en valeur.Si la série –dont on ignore encore le format, 26 ou 52 minutes- voit le jour, elle serait amenée à durer plusieurs saisons, soit en présentant chaque année la production d’un nouveau show, soit une variante du spectacle original.source : Variety

Je vous en donne des nouvelles. de cette belle idée, sur paiper, en tous les cas...

jeudi 29 octobre 2009

Anne,le musical : Les affiches du show.


Éloge à Danielle, et à Guy, et à tous les interprètes dramatiques de ce monde...


Après Guy Nadon, la semaine dernière, dans une scène d'anthologie de retrouvailles d'un père et son fils, ce fût au tour de Danielle Proulx de briller de tous ses feux, mardi. Et de quelle émouvante et brillante manière... Une grande performance, rien de moins. Je l'aime d'habitude, même si je trouve son jeu, parfois un peu appuyé. Je pense à Crazy,« notamment. Mais là, elle est d'un naturel..incroyable. C'est à mon avis, une de ces meilleures interprétations à vie. Allez sur le site de Radio-Canada. car je crois qu'ils repasssent l'émission.
Je pense particulièrement à cette scène, cruciale pour toute la série, où un "les aveux " sont substantiels et révélateurs - et combien émouvants - : Dans le Parc, avec son fils, la mère cri son amour pour lui, et pour son père. Et refais le puzzle du passé.
Son jeu, contrôlé et nuancé était entièrement dévoué au personnage, à sa quête, à ses brisures, et à son espoir lié à celle de son fils.
Cette scène devrait être projetée à toutes celles et ceux qui aiment le jeu dramatique et toutes les étudiantes et étudiantes en art d'interprétation de la planète.
C'était stupéfiant.
À voir et à revoir.
Comme éloge au jeu dramatique et à ses acteurs et actrices.
C'est en voyant un jeu comme celui-là, qu'une évidence nous monte au coeur.
L'artiste est une nécéssité sur la terre, autant que l'air.
Je vous aime Madame Proulx et vous salue avec grande déférence.

mercredi 28 octobre 2009

Il avait joué dans Le journal d'Anne Frank au cinéma, en 1959.

Décès de l'acteur Lou Jacobi

L'acteur canadien Lou Jacobi (de son vrai nom Louis Harold Jacobovitch) s'est éteint vendredi dernier dans son domicile new-yorkais, à l'âge de 95 ans. Il avait débuté sur les planches en 1955 dans Le journal d'Anne Frank. Au cinéma, on l'a vu dans Irma la douce de Billy Wilder et dans Arthur (1981) avec Liza Minnelli. Jacobi a également joué le rôle du mari travesti dans la comédie de Woody AllenTout ce que vous avez toujours voulu savoir sur le sexe. Sa dernière apparition sur grand écran date de 1994 avec le film L'Amour en équation, aux côtés de Meg Ryan et Tim Robbins.

JE NE SAVAIS PAS QU'IL ÉTAIT CANADIEN.
Ces comédiennes et comédiens à avoir fait carrière sous les feux Étatsuniens me semblent légion, ma foi.
Je vais mettre Atalante, là-dessus..

La sortie d'un grand de troisième année 7

La classe de troisième était froide, seule, morte même.
Escorté d'une amie et de l'obligatoire déléguée syndicale..
Mon pauvre petit coeur, le plus au neutre qu'il le pouvait..
J'y entrai...
Poussé par l'urgence d'y être le moins longtemps possible.
J'appuyai sur la touche "pilote automatique " et fit le tour..des différents endroits où se trouvaient mes affaires personnels.
La classe, telle que je l'avais connue, n'était plus.

Quand j'eus terminée, dans l'aire, attablée pour l'aide aux devoirs, comme une apparition du juste retour des choses.
Deux petits tournesols de mon ancienne classe, qui y étaient, même à distance, me regardaient, me surveillaient, me veillaient.
Et ceci n'est pas une métaphore.
Leurs sourires, fût la seule bonne chose de cette rude journée.

Ce court mois et demi, finalement, n'a existé, que pour eux, que pour ce que j'ai pu leur donner.
Et ces yeux..furtifs, vers les miens, me le confirma.

comme si la vie

Anne s'affiche en films 1 : d'une fiction à l'autre, d'un docu à l'autre, d'une série à l'autre


1959


2000 ( film d'animation ) ( pas vu mais il disponible sur youtube, je crois..je vous en reparle )

1959..le premier..le plus vieux...disponible en DVD. Un coffret double est sortie cet été.



2000..le métrage d'animation.... Dessin à Japonaise




Un documentaire des années 90. À voir absolument. Un excellent document. Pas sûr qu'il existe sur le support dvd. À voir...

mardi 27 octobre 2009

Tellement, ils s'aimaient




(...) Saviez, vous, que Gilles Latulippe a failli être le premier interprète de la belle chanson Montréal de Beau Dommage? !!!!

Que le groupe a fait une méga-tournée avec Julien Clerc en France?

Que le tout premier disque de la célèbre formation - avant qu'elle ne porte son tout aussi célèbre nom - était un album de la musique de l'émission pour enfants Les Chiboukis?

Tout cela et bien, bien d'autres choses, on les apprend dans Beau Dommage - Tellement on s'aimait, biographie du groupe rédigée par l'historien en musique Robert Thérien, en magasin (... ) aujourd'hui . Cela après l'intégrale en 5 CD et 2 DVD (L'album de famille, lancé en mars dernier) (...)


Thérien explique par exemple à quel point le contexte social et politique de l'époque allait jouer en faveur de l'émergence d'un tel groupe: à l'époque où l'embryon de Beau Dommage se forme, le CRTC impose des quotas de musique canadienne aux radios et les programmes d'emploi gouvernementaux permettent aux jeunes d'expérimenter toutes sortes de choses (en étant payés!). Le talent et la conjecture conjugués ont donné Beau Dommage.
La preuve en est donnée par le tout premier chapitre de la biographie, littéralement inventé par Robert Thérien: que serait-il arrivé si Rivard, Léger, Bertrand et les deux Desrosiers s'étaient découragés et n'avaient pas reçu, in extremis, un appel de la compagnie de disques Capitol, intéressée par une chanson... qui n'allait pourtant pas figurer sur le premier album de Beau Dommage? Eh bien, vous et moi n'aurions alors jamais fredonné «Tous les palmiers, tous les bananiers...»

Tellement on s’aimait, est une encyclopédie vivante de la musique pop québécoise. Il avait fait une recherche exhaustive (les lieux, les noms, les dates) avant même de rencontrer les principaux intéressés en entrevues.


Après plus de 30 ans, la poussière est retombée, mais les chansons de Beau Dommage tournent toujours aujourd’hui. «C’est qu’ils faisaient de la maudite bonne musique », conclut Robert Thérien.


Marie-Christine Blais la presse en bleu
Benoît Aubin Le Journal de Montréal en vert



Robert Thérien, Beau Dommage, Tellement on s’aimait, VLB Éditeur, 224 pages.


Que j'ai hâte de me plonger là-dedans.. J'aurais dû demander cela pour ma fête..Il y a Noël, dans quelques mois..pourr me reprendre...





samedi 24 octobre 2009

La sortie d'un grand de troisième année 6

Je me suis rendu à l'hôpital hier en début après-midi.
D'abord pour y quérir un certificat médical, renouveler et bonifier mes médicaments,
mais surtout parce que je me sentais particulièrement agité.
Normal, puisque je faisais sans le savoir, de la haute pression.
Seigneur.
il faut que je me calme absolument.
Un bain par jour, au moins, Atalante, allez !

Merci France, pour ces belles images de vie !


Pour ma fête, ma grande amie, France, m'a offert ces deux belles images. Sans le savoir, elle m'a fait un grand bonheur, puisque j'adore ce type d'arbre. Et offrir la beauté à un ami qu'on aime et qui a de la peine. C'est lui donner un mouchoir grand comme le monde. Merci mon amie !

Retour sur les arbres de Noël

La presse souvent s'emballe.
Et le lecteur se laisse entraîner. Et les blogueurs avec..alouette...
La nouvelle concernant l'installation précoce d'un vendeur d'arbres était un faux scoop.
Il s'agissait plutôt du décor d'un film : Aurélie Laflamme !

Viellir en beauté




VIEILLIR EN BEAUTÉ !



Vieillir en beauté, c’est vieillir avec son cœur,
Sans remords, sans regrets, sans regarder l’heure.
Aller de l’avant, cesser d’avoir peur !
Car à chaque âge, se rattache un bonheur

Vieillir en beauté, c’est vieillir avec son corps
Le garder sain en dedans et beau au dehors
Ne jamais abdiquer devant un effort.
L’âge n’a rien à voir avec la mort.

Vieillir en beauté, c’est donner un coup de pouce
À ceux qui se sentent perdus dans la brousse
Qui ne croient plus que la vie peut être douce
Et qu’il y a toujours quelqu’un à la rescousse.

Vieillir en beauté, c’est vieillir positivement,
Ne pas pleurer sur ses souvenirs d’antan,
Être fier d’avoir des cheveux blancs,
Car pour être heureux, on a encore le temps.

Vieillir en beauté, c’est vieillir avec amour,
Savoir donner sans rien attendre en retour,
Car où que l’on soit, à l’aube du jour,
Il y a quelqu’un à qui dire bonjour.

Vieillir en beauté, c’est vieillir avec espoir,
Être content de soi en se couchant le soir.
Et lorsque viendra le temps du dernier soir
Se dire qu’au fond, ce n’est qu’un au revoir !





Auteur: Ghyslaine Delisle




J'ai 48 ans aujourd'huiu. Hihihi !

vendredi 23 octobre 2009




La calebasse, ou gourde, est une plante herbacée annuelle de la famille des cucurbitacées. Originaire des régions tropicales, elle est cultivée comme plante potagère pour son fruit, parfois consommé à l'état frais comme légume ou plus souvent utilisé à l'état sec pour fabriquer divers objets. La culture de cette plante et l'utilisation de ses fruits comme récipients est très ancienne.
C'est une plante annuelle, rampante ou grimpante, à longues tiges ramifiées munies de vrilles rameuses opposées aux feuilles. Les feuilles, alternes, simples, arrondies, sont pileuses, mais douces au toucher. Les fleurs monoïques, blanches, s'ouvrent au crépuscule.Le fruit est charnu, sphérique ou allongé, souvent ressemblant à une bouteille ou à une amphore, avec une partie renflée et un col plus ou moins long. Il peut atteindre 1 m de long, voire plus. L'enveloppe du fruit se dessèche et se lignifie à maturité, et devient dure comme du bois. La récolte des jeunes fruits tendres destinés à la consommation se fait environ deux mois après le semis. De goût plutôt fade, ils se préparent comme des courgettes. Ce légume est surtout consommé en Inde et en Extrême-Orient.
Certaines variétés, trop amères à cause de leur teneur en cucurbitacines, ne sont pas comestibles. Les fruits mûrs destinés à être séchés se récoltent en fin de saison avant les gelées d'automne.Les fruits séchés sont utilisés pour la fabrication de divers objets traditionnels, notamment ustensiles de cuisine (récipients, gourdes, coffrets, étuis) ou instruments de musique (berimbau, maracas, sitar). Les gourdes végétales, tout à fait hermétiques, sont les ancêtres de nos gourdes modernes en plastique ou en métal. La calebasse existe dans plus de 50 formes et tailles différentes (de 150 à 600 mm de diamètre) et a la particularité de durcir en séchant. Une fois coupée en deux et vidée de ses graines sèches, elle est prête à l'usage. (Source: Wikipedia)Pour ma part je choisis des calebasses de forme ronde, que je travaille comme le bois, avec de petits outils manuels ou électriques, et que je transforme en gourdes, en lampes, en porte-monnaie ou en bols.
source wiki

jeudi 22 octobre 2009

Noël en Octobre

Oubliez l'Halloween, c'est déjà Noël

Nous sommes le 21 octobre, il fait quand même beau, les feuilles rougissent encore aux arbres et commencent à peine à lâcher prise pour se laisser tomber mollement au sol. À ce que je sache, la fête de l'Halloween n'a pas encore été consommée. Eh bien croyez le ou non, hier en passant devant le parc St. Mark sur la rue Saint-Charles à Longueuil, j'ai vu un commerçant installer son parc de sapins de Noël. Pas des faux, des naturels, fraîchement coupés. Ils auront l'air de quoi ces sapins la nuit de Noël?
Et comme si la ville avait compris le ridicule de la situation, elle est venue en aide au marchand en installant des guirlandes dorées et des boucles rouges sur le petit pavillon qui trône au milieu du parc. Nous sommes en automne bordel!! Pas la veille de Noël! Est-ce qu'on peut nous lâcher avec les décorations de Noël? Est-ce qu'on peux nous laisser vivre le moment présent? Juste un peu?
À ce rythme là, ce sera bientôt Noël toute l'année. Comme ça on aura de bonnes raisons d'acheter des cadeaux à nos enfants toute l'année durant. Il n'y aura plus de surprises, plus de moments spéciaux, plus d'attente, plus de désir jamais. On sera gavés à l'os et incapables d'apprécier quoique ce soit.
Renée Laurin sur Canoe.com
!!!!!!!!!!!!!!
Maudite argent ! Viande à chien ! C'est un poison.

La sortie d'un grand de troisième année 5

Voici enfin venu le temps crucial des aveux.
Des aveux à soi-même, avec soi-même.
Sans chichi. Sans peur et sans honte.
Des aveux lucides.
Avec des questions claires, pertinentes.
Et des réponses qui le seront tout autant.

Je me suis souvenu, ces derniers jours, d'un espèce de pacte ou de réflexion que je m'étais faite au moment de réorienter ma carrière au primaire.
Si cette fois-ci, je rate mon coup..je crois bien que ce sera fini pour moi, l'enseignement.

Juste de l'avoir pensé , c'était révélateur.
C'était aussi de l'essouflement majeur.
D'année en année, mon corps, mon coeur flanchent.
Ce n'est pas par hasard ?
Même cette année, je dois me demander si cela allait si bien que cela.
Oui l'enseignement aux petits me plaisaient davantage qu'aux plus grands,
et dans l'ensemble, je me débrouillais pas si mal dans les circonstances. Je n'étais pas dupe, quand même, et je constatais également, le progrès qu'il restait à accomplir.
Mais je n'étais vraiment pas si mal, au fond...
Si les murs pouvaient parler, ils révéleraient, sans doute, de beaux moments de pédagogie et d'humanité
Où la passion et de confiance d'un prof pour ses élèves prenaient toute la place.
L'essentiel..le reste c'est de la technique et de la didactique de programme, non ?

Ceci étant dit, je me pose quand même la question...
Suis-je apte, sur le plan psychologique et physique, à relever , jour après jour, ce rude défi de l'enseignement et l'éducation des jeunes d'aujourd'hui. Dans le contexte sociétal et scolaire d'aujourd'hui ?

De moins en moins sûr.
De plus en plus sûr du contraire.

Toutes ces années, m'acharnais-je avec orgueuil et entêtement à nier une réalité, ma réalité ?

Effets d'entraînement




Le vol à la dérive d'un ballon d'hélium dont les images ont glacé d'effroi des millions d'Américains croyant qu'il transportait un enfant était en fait un «canular» publicitaire ourdi par ses parents en quête de célébrité, a indiqué dimanche la police.

Les Heene s'étaient déjà illustrés par le passé en participant à un programme de télévision baptisé On a échangé nos mères.
Le shérif a expliqué que Richard Heene et sa femme Mayumi avaient monté l'histoire peu après que le ballon -un engin gris métallisé de fabrication artisanale et en forme de soucoupe volante- se fut envolé et que les médias eurent commencé à évoquer la présence de l'enfant de six ans à l'intérieur.
Le garçonnet n'a en fait jamais quitté une cachette dans la maison familiale, alors que les images spectaculaires du ballon tournoyant à plusieurs centaines de mètres d'altitude dans le ciel du Colorado monopolisaient l'antenne des chaînes d'information américaines.
De fait, ces deux ingrédients -mensonge et télévision- auront été le fil conducteur de l'histoire.
Sans surprise ou presque, le shérif Alderden a révélé dimanche que les époux Heene s'étaient rencontrés dans un cours de... comédie à Hollywood.
«Il n'est pas nécessaire de souligner qu'ils ont monté un très bon numéro et que nous y avons cru», a-t-il dit.
«Ces gens sont des acteurs. Nous (la police) avons été manipulés par la famille et les médias ont été manipulés par la famille».
Les Heene étaient apparus dans de multiples émissions de télévision vendredi au lendemain de l'incident pour tenter d'étouffer une polémique grandissante sur une éventuelle mystification, nourrie par une déclaration fracassante de leur propre fils sur CNN.

Les deux parents devraient être poursuivis devant la justice, notamment pour avoir fait participer un mineur à un délit et pour avoir diffusé de fausses informations. Les enfants ne devraient par contre pas être inquiétés en raison de leurs jeunes âges.
Si les Heene ont vraisemblablement eu recours au mensonge, la police américaine a également utilisé des techniques de manipulation pour piéger la famille.
Vendredi soir, alors que l'Amérique toute entière était prête à croire qu'il s'agissait d'un canular, le shérif Alderden avait pris tout le monde à contre-pied en assurant qu'il s'agissait d'«un événement bien réel».
Il a reconnu dimanche avoir agi ainsi pour tromper les Heene et leur donner un sentiment de sécurité, alors l'étau des enquêteurs se refermait peu à peu sur eux.
L'étau de la téléréalité auusi, s'est refermé sur eux..
On a pas fini, d'en msurer les effets pervers, pernicieux.
Pour se mettre en value, être connu, et riche, les humains sont prêts à toute les bassesses.
Et les médias, pour fair un bon show, et appâter la commandite, veille toujours.


Jeanie Stokes
Agence France-Presse Fort Collins
De très longs extraits

Aube d'automne






mercredi 21 octobre 2009

fenêtres d'automne




Album de Florentine par Miyuki TANOBE 1





Elle demanda un coca-cola, un hot-dog... (1983) - Miyuki TANOBE


En 1983, son illustration de «Bonheur d'occasion» lui mérite ce commentaire de Gabrielle Roy: «qu'elle est émouvante cette rencontre du lointain Japon avec notre grouillant et familier Saint-Henri.»

mardi 20 octobre 2009

Sur les traces de Bonheur d’occasion




Gabrielle Roy aurait eu 100 ans cette année. Pour souligner cet anniversaire, Kaléidoscope propose des visites guidées dans St-Henri sur les traces de Bonheur d’occasion et de son auteure, Gabrielle Roy.

Pour découvrir les lieux qui l’ont inspirée et marcher dans les pas de ses personnages.
L’auteure de “Bonheur d’occasion”, premier roman urbain du Québec s’est mérité le prix Femina en 1947. Tout un roman, tout un monde à découvrir!
Samedis 10, 17 et 24 octobre à 10h30

Quartier Saint-Henri, Histoire et architecture de ce quartier au riche passé industriel et ouvrier.
Dimanches 18 et 25 octobre à 13h30
Point de rencontre pour les visites, aux tourniquets
du métro Place Saint-Henri
Réservations nécessaires :514-990-1872
Coût par visite : 15 $ ou 13 $ tarif réduit







Je sais désormais ce que je vais faire le jour de ma fête en guise de cadeau à moi-même.


Dire que je n'ai pas de kodak numérique..


Je vais m'occuper de cela..pour mon blog.

Sorties DVD : Cuvée d'automne



SORTIES D'OCTOBRE ET NOVEMBRE








20 octobre 2009



3 Novembre 2009





Michel tremblay - Coffret hommage

Il était une fois dans l’est (1974) / Le soleil se lève en retard (1977) / Hosanna (1991) / Le vrai monde ? (1991) / Bonjour, là, bonjour (1993) / Albertine en cinq temps (2000) Mais il manque En pièces détachés de Paul Blouin c'est bien dommage, question de droit peut-être
?



Gone with the Wind (Two-Disc Special Edition)

10 NOVEMBRE 2009

Moi et l'autre (A son meilleur)






24 novembre 2009

lundi 19 octobre 2009

La sortie d'un grand de troisième année 4

J'avais planifié de me rendre à mon ancienne - désormaios - école, en ce jour.
Pouy y récupérer des effets personnels.
Mais entre-temps, j'ai parlé à mon syndicat.
Ils m'offrent de m'y accompagner, éventuellement.
Ils me recommandent aussi de faire une demande d'assurance, étant donné, l'état de détresse et de choc, dans lesquels je suis, depuis ce fameux 8 d'octobre.
Voilà, pour le nouveau.
À suivre.
Je vais me rendre à l'hôpital, demain...
Ne vous inquiétez pas trop quand même.
L'écriture et Coralie veillent sur moi...

Nouveau canal Anne Frank sur YouTube


Le musée Anne Frank d'Amsterdam a commencé à diffuser la seule vidéo connue de la jeune femme sur un canal YouTube qui lui est entièrement consacré.
Le canal présente aussi des vidéos de gens comme son père, Otto, et l'ancien président sud-africain Nelson Mandela. Une porte-parole du musée a indiqué qu'il s'agit d'une plateforme «fantastique» à partir de laquelle diffuser des films et des documentaires au sujet d'Anne Frank.
Le canal présente notamment des images captées lors du mariage d'un voisin le 22 juin 1941. On y voit brièvement Anne et sa famille avant qu'ils ne soient contraints de se cacher lors l'occupation nazie des Pays-Bas pendant la Deuxième Guerre mondiale.
Ces images étaient déjà présentées, en version abrégée, au musée et sur le site Web d'Anne Frank.
La porte-parole du musée a ajouté que le canal YouTube présentera aussi une vidéo détaillant la reproduction virtuelle, en trois dimensions, de l'espace dans lequel la famille Frank s'est cachée pendant 25 mois avant d'être finalement trahie et déportée.
La reproduction virtuelle de cette cachette sera formellement inaugurée l'an prochain pour souligner le 50e anniversaire de la fondation du musée.
source : canoé

Le petit cheval-bascule du petit André

Cet été, fin -août, je suis allé fouiner du côté de la rue de ma petite enfance . La rue Vaudreuil, dans le quartier Vaudreuil, de l'ancienne ville d'Arvida, intégrée à Ville de Saguenay , depuis cette folie des fusions municipales.

J'accompagnais une vieille amie à Jonquière, qui allait reconduire et installer sa fille aînée pour sa troisième année d'études au collégial en technologie des médias. N'ayant plus de voiture, depuis le printemps dernier, comptant mes pécules avec soin, reflouant mes dettes, minimisant mes déplacements en dehors.. J'ai sauté sur l'occasion. Comme la mère et la fille allaient être passablement occupées à vider des boîtes, à magasiner , et etc..etc.. Je pourrais en profiter pour aller mené mené dans les bucollines - «buccolique -, comme je le disais souvent - et cela la faisait bien rire - à ma défunte amie Linda. Formule que j'utilisais quand on parlait d'un tour de char. Formule qui me vient de Sol. J'en profiterais, caméra au poing pour prendre des clichés. Elle m'offrait son véhicule. Je pourrais rouler à ma guise, dans le coin de mon enfance. Pendant plusieurs heures....Et c'est ce qui se fit.

Et le fantôme de mon petit cheval de bois vint me visiter, alors que j'étais prostré devant la maison. Ce jouet, aussi grand que moi, à l'époque , était mon meilleur ami.. Son mouvement de balancier était sa voix, sa berceuse. Il ronronnait à sa façon.

Dans l'orphelinat où j'ai grandi - les deux, en fait - les séances de chaise berçante dans la pouponnière avec le personnel à voile et à cornette, ne devait pas être fréquentes. On ne devait pas tellement s'étendre sur le sujet comme on dit. les religieuses devaient
être bien serviable,néanmoins, mais ce n'étaient pas des mamans. Et au début des années 60, quand j'y étais, il devait y en avoir du bébé à s'occuper, alors le dorlotage, le berçage, le guili guili ah ah, pas la première préoccupation . Il fallait voir au plus pressant.

Tous ces petits orphelins, fraîchement abandonnés par leurs mères en auraient eus bien besoin,mais bon. Certains allaient se rattraper par la suite, d'autres non.
Les premiers moments de la vie, s'ils sont chauds, chaleureux, affectueux , sont un gage pour la sécurité affective à venir.
J'ai connu plusieurs personnes adoptées, et aucune n'étaient des êtres sécures sur le plan émotif.
J'avais une maman adoptive très affectueuse, grasse comme la maman de Léolo , qui m'a désiré pendant des années à sa façon, puisqu'elle souffrait d'infertilité. Et ce petit moi de 13 mois l'a sans doute rendue fort comblée. J'ai des souvenirs lointains, très lointains mêmes, toutefois ils ont le parfum du sourire, de l'affection parfois distancié mais sincère, réconfortant, malgré la forte présence rabat-joie du Père.
Malgré tout, un vide, un manque, un besoin déraisonnable. d'être toucher, cajoler, lové , enrobé, etc.
La vibration de la chaise berceuse et du mouvement de mon petit cheval de bois, m'apportait réconfort.. Comme si on me massait dans tout mon corps. Qu'on tentait d'aplanir mes tensions artérielles, musculaires.
Pourtant, on a jamais possédé de berçante à la maison.
Ma mère aurait bien voulue.
à la mort de ma grand-mère, je me souviens, elle avait tentée, de récupérer la berceuse de sa mère, mais en vain.
Sauf que dans ma parenté, il en existait beaucoup dans les salons, dans les cuisines surtout.
J'en étais fou de jalousie.
Mais que j'allais chez-eux, j'en profitais, je me berçais longtemps et avec vigueur. En écoutant de la musique. J'impressionnais la gallerie.
Nul ne serait douté que je faisais le plein de câlin et de berçeuse.
Cet été, en marchant avec Coralie, ma chienne, dans les rues de Longueuil, j'ai vu un cheval de bois à bascule au chemin. En attente des vidangeurs. Comme j'étais à pied, je ne suis pas parti avec. Et chez-moi, où aurais-je bien pu mettre ce jouet géant ?
J'ai préféré me souvenir ce jouet de mon enfance..
Et m'en souvenir
refit naître le souvenir de cet attachement
Même cet attachement renaquit.
Cela se dit, renaquit ?

dimanche 18 octobre 2009

Prête-moi ta plume, pour écrire un mot 2









P'tit maître d'amour de papa,



On peut dire que toi tu sais me faire plaisir.



Tu sais ce que j'aime.



Et ton coeur n'est jamais assez grand pour me contenter.



Tu pourrais me donner la lune.



Me gâter, pour te faire plaisir, en premier..



De mille façons.



Beaucoup de propiétaires de chiens le font.



Pas toi. Très peu.



Les nanannes. Les os à chien de toutes les couleurs. Les bebelles sonores. Les gagets à canins inutiles et non-durables.



Tu pourrais me donner un Mondou complet à moi tout seul, et tu ne le ferais même pas.



Le pire, c'est que cela ne te ferait même pas plaisir.



Tu sais très bien que je me tanne bien vite de ce genre de jouet.



Que je préfère l'action réelle aux jeux insignifiants et inutiles.



Chez mondou, quand on y allait, quand on avait un char, notre Stella, ce que j'aim ais, c'était faire le plein d'affection avec le personnel, aller derrière le comptoir de la caisse recevoir quelques friandises, me sentir la reine de la place, en attention et en caresse.



Parlant de friandises, il y en a toujours à la maison..mais tu ne m'en donnes pas des tonnes.



Tu sais que je préfères certains morceux charnus ou sucrés de tes assiettes.



Les chips, les croustilles..



etc..



Tu te retiens, je le sais, je le sens.



Tu penses à ma santé, à ma shape. Tu veux me garder en vie, le plus longtemps possible.



Je pourrais ÊTRE PLUS sarf si je voulais..



Tu le sais. Tu le sens.







L'amour incontionnel, le besoin de protéger mon monde, toi surtout,



me sentir en sécurité dans mon petit coeur, mon espace vital, courir dans la cours, quelques minutes par jour, sortir dehors, aller marcher avec toi, dans la nature, mon cher ange gardien de papa, comme cet après-midi au Parc Régional.







Là, tu m'as fait plaisir.



Tu sais que lorsque je déambule, en toute liberté, sans laisse. Que tu me laisses être chienchien , lâchée lousse dans la nature à me jeter dans les mares, etc..



Que je suis complètement heureuse.



Mais as-tu remarqué, que je te devances, dans ma course, que je pars à l'épouvante.



Mais que moins d'une ou deux minutes plus tard, je me retourne, je te regarde, et je m'élance, me relance vers toi...







À suivre...



Je l'avoue..je suis fou d'Aveux

Je trippe fort sur Aveux..

La série, actuellement diffusée sur la SRC. est écrite par l'auteur Serge Boucher - c'est sa première oeuvre télévisuelle et j'en suis à ma troisième intervention sur le sujet - avec une distribution du tonnerre dont je reparlerai plus loin. Elle est présentée depuis le 8 septembre. Cette semaine, c'était la diffusion du cinquième épisode, pour une série qui en comptera douze. Et heureusement, car en 5-6, comme c'est le cas, souvent , cela aurait escamotté l'intrigue et les conclusions, importantes, pour ce genre de fiction qui verse dans le thriller psychologique - et mélo, un peu, mais c'est de bon ton et ne boudons pas notre plaisir- ..





Je vous dis, d'emblée, qu'Aveux est ce qui se fait de mieux, dramatiquement et télévisuellement - tout court- en français et chez-nous , tout poste confondu. Cette série, sortait de nulle part.
Elle n'était pas écrite par les redondants auteurs habituels ( Réjean tremblay , Les Boyer d'Astous,etc.. ). Elle l'était par un venu du théâtre, ce qui est rare dans notre la télé depuis plusieurs années..depuis la disparation complète..des téléthéâtres, en fait, à la fin des années 80.. Longtemps des auteurs renommés écrivèrent pour la télé : des littéraires, des écrivains, des artistes, quoi..à part entière.. Que l'on pense À Claude-Henri Grignon ( Les belles histoires ) Germaine Guévremont ( Le survenant, Marie-Didace ), Marcel Dubé ( Le monde de Marcel Dubé ), pour ne nommer ques ces plus célèbres..



Le monde du théâtre et des livres ont été pendant presque quarante ans une pépinière sacrée et privilégiée de notre télévision. Et maintenant, presque plus rien. Sauf Aveux, cet automne.
Côté chanson : Il y a - depuis quelques semaines - En direct de l'univers avec France Beaudoin qui rend hommage à la culture de la même manière que le faisait à Téléquébec avec René-Richard Cyr,en 90,à travers l'univers culturel d'un artiste. C'est moins intéressant qu'à l'époque, mais il y a une belle mobilisation artistique, notre culture est exposée, le blablabla habituel cède sa place à la chanson, et des comédiens et chanteurs créent des espaces musicaux fabuleux.
Autrement c'est le monde de la télé..qui nourrit le monde de la télé..
Et notre culture, à part d'être juste critiquée, relatée, n'est pas assez, juste , actualiser.

Pour ce qui est de l'oeuvre de Boucher, c'est beau de voir l'écriture théâtrale d,un auteur, se magnifié et s'adapter si finement au format télésériel. Les deux mondes se complètent et se nourissent richement.
Et le traitement de son sujet, est original et apporte du renouveau à notre tél.


Tout en s'insérant dans les thèmes traditionnels du téléroman Québécois : Les figures parentales de père , de mère , les racines familiales, la trahison, le mensonge, l'identité sexuelle, La campagne versus la ville, etc... Le sexe et La police ne sont pas ses thèmes réccurrents. Qui sont la quête de soi, à travers la famille et l'amour.
Et c'est bien fait. La structure est habile, en ellipses, en strates délicates, en économie de dévoilement. Tout se dévoile progressivement, lentement, mais sûrement..c'est une série quand même.. À date on reste sur notre appétit tout le temps..On comprend..on comprend pas.. C'est voulu. Les êtres de cette fiction ne sont pas opaques ou unidimensionnels . Ils ont leur part de tares , mais de soifs aussi.
C'est génial d,aborder la question de la rupture de ponts.
Fouiller l'idée que l'on fuit parfois pour survivre.
Que c'est facile, de juger, de l'extérieur.
De penser d,abord à un acte de lâcheté.
Mais se choisir..pour respirer..c'est s'aimer, aimer..
C'est courageux.
Il y a tant de gens qui restent avec ils sont..où ils sont..
et qui se voudraient ailleurs..
mais qui ont peur.
Qui pensent aux autres, avant soi.
Qui font leurs devoirs..avant de vivre.
Qui cessent un jour de dire oui à la violence.
Qu'on leur impose.
C'est que Simon a fait.
Mais 15 ans plus tard, son passé le rattrape.
Je vous en reparle.
Il reste plusieurs épisodes encore.
Comme c'est bien ficelé..je ne penses pas qu'il soit trop tard pour y adhérer.
Autrement. C'est indéniable qu'une publication en dvd est à venir.

samedi 17 octobre 2009

Un arbre pour retrouver la vie

Embrasser un arbre ? C'est redécouvrir un vrai rapport à la nature et retrouver sa vitalité.

Embrasser un arbre ? « Une expérience insolite », assure Patrice Bouchardon. Pour l'animateur de séminaires en forêt, les arbres, malgré leur silence apparent, sont vivants. Et peuvent donc nous aider à retrouver notre tonus, à mieux respirer, à développer nos sens.
Debout, l'oreille posée contre un arbre, j'écoute, comme le faisaient autrefois les Indiens avec la terre. L'expérience donne à découvrir des chuintements, des bourdonnements, des bruits de ville », raconte Idalgo, 42 ans, pourtant doté d'un esprit cartésien. Ce samedi matin, la forêt de Fontainebleau est le théâtre de curieuses expériences. Une vingtaine de personnes écoutent, touchent, hument en chœur… les arbres !
Derrière cette activité insolite se cache un homme jovial, Patrice Bouchardon, animateur de « stages nature » pas tout à fait comme les autres. Ingénieur de formation, il a toujours nourri un vif intérêt pour les arbres qui l'a conduit à une réflexion sur notre rapport à la nature.



« Allez vous adosser contre un arbre qui vous inspire, détendez-vous et concentrez-vous sur votre respiration, propose Patrice Bouchardon à ses stagiaires. D'où part-elle ? De votre ventre ? De votre gorge ? » Cette exploration attentive du souffle a pour effet immédiat une sensation de tonus retrouvé… qui s'explique : les arbres ont une influence positive sur la qualité de notre atmosphère. « Ce sont eux qui transforment l'oxyde de carbone en oxygène, si précieux pour notre vitalité », rappelle Jacques Fleurentin, pharmacologue.


En forêt, chaque arbre en produit environ sept litres par jour. Plus qu'il n'en faut à l'homme, dont les besoins quotidiens tournent seulement autour d'un demi-litre. De plus, cet oxygène naissant au sortir de la feuille est « anionisé », c'est-à-dire qu'il est accompagné d'ions négatifs. Ces derniers présentent trois caractéristiques majeures : ils favorisent la dilatation des vaisseaux sanguins, améliorent l'oxygénation des tissus et luttent contre le stress. Pendant une séance de respiration avec un arbre, nous pouvons en quelque sorte prendre rendez-vous avec notre vitalité d'une manière plus « végétale ».



Je veux le faire depuis si longtemps. Je ne sais pas ce qui m'en empêche. La peur que l'on me voit. Puis ?

vendredi 16 octobre 2009

Je déserte mon parc depuis le départ de mes bernaches




Et si j'y allais..encore..voila, sans doute, a quoi il ressemblerait sans doute.


Juste d'en parler, me donne le goût d'y retourner.


Il faudrait.


Cela me revigorerait.

La sortie d'un grand de troisième année 3

Plusieurs d'entre-vous qui me lisez ici, ou d'autres proches me demandent.:
Que s'est-il réellement passé pour que ton employeur en vienne à te tasser ainsi ?
Est-ce que tu nous caches quelque chose ?
As-tu fais des gaffes majeures ?
Sont-ils homophobes ?
Ou ont-ils quelqu'un à mettre à ma place ?
Etc..

Toutes ces questions, je me les suis posées, c'est plus que sûr.

La raison officielle, c'est que je n'ai pas ce qu'il faut - capacités, formation, etc..
Pour donner un enseignement voué à la réussite, aux enfant.
Ma directrice, me disait même : si tu étais en stage, comme maître associé, je mettrais fin au stage.
Franchement.
Si vous saviez tout ce que je faisais.
En efforts et investissements.
On ne m'a même pas proposé de me former, de me libéere, pour me fomer par du perfectionnememnt.
Niet.
Bon pour la poubelle.
Retournez au secondaire , le primaire, c'est pas pour vous.
Moi qui me trouvais meilleur au primaire.
Au secondaire, je devais être un incapable notoire.

jeudi 15 octobre 2009

La sortie d'un grand de troisième année 2

Sur mon répondeur, hier soir, un message des ressources humaines de ma CS m'attendait dans ma boôte vocale.
Suite à ma demande de ne pas me présenter à la rencontre d'aujourd'hui, mon employeur me disait que la lettre à signer pour mon congé sans solde d'un an, était déjà prête.
Dire que l'on m'avait fait miroiter qu'il y avait une ouverture pour discuter !
Mon oeil. Quelle leurre.
J'ai bien fait de ne pas y aller. J'aurais perdu mon temps et mon énergie.
Au téléphone, mardi, la fermeture que j'y avais senti était réelle.

Depuis mon levé, j'ai déjà fait de la prospection pour être tuteur pédagogique individuelle.
Peut-être ferais de la suppléance au sec, dans ma commission - au primaire, j'en même pas la compétence -selon eux- au secondaire ou au primaire et secondaire, ailleurs..
je vais donc mettre mes demandes d'emploi, que j'avais commençé, il y a eux ans, après mon retour aux études..à jour..et tenter de m'inclure dans leurs listes...

Hier, mon ami, L, m'a bercé de ses paroles d,espoir.
Je vais faire mon nid, là-dedans.
L'espoir...
Allers vers ce en quoi je suis capable..et qui m'allumerait encore...

Mais Même dans un autre domaine, je regarde..
En attendant, il faut mettre du beurre sur notre pain.

Que lit Stephen Harper?




Yann Martel vient de publier les 60 premières lettres qu'il a envoyées au premier ministre Stephen Harper pour essayer de lui donner le goût de lire.
Le livre Mais que lit Stephen Harper? recense les lettres qu'envoie Yann Martel au premier ministre canadien depuis avril 2007.
Chaque fois, Yann Martel lui propose de découvrir un livre différent.
«Ce sont des livres québécois, canadiens ou étrangers. Il y a des poèmes, des romans, du théâtre, des bandes dessinées... Récemment, je lui ai même envoyé un livre Harlequin [...]. Tout pour lui montrer que le livre est un outil essentiel de réflexion», confie Yann Martel.
Ces jours-ci, l'auteur travaille à lui écrire sa 66e lettre.
«J'aimerais bien [laisser tomber], parce que ça demande beaucoup de travail.»
«Ce n'est pas à moi de dire quoi lire à quelqu'un, mais quand on parle de quelqu'un qui a autorité sur moi, je crois que oui, c'est essentiel de lire», dit-il, en répétant que «c'est incompréhensible qu'un premier ministre ait une culture littéraire si pauvre».
Accusés de réception
Depuis le début de l'opération, Yann Martel n'a reçu que «quatre ou cinq réponses» du bureau de Stephen Harper.
«Chaque fois de personnes différentes. Des réponses qui sont plus des accusés de réception qu'autre chose.»
«Ça me déçoit et ça me surprend, dit-il. Si mes lettres étaient insolentes, je comprendrais qu'il ne réponde pas.»
Pour Yann Martel, l'actuel gouvernement fédéral n'a aucun lien valable avec le milieu de la culture.
«C'est vrai que l'art est un cadeau à l'humanité, mais ce cadeau-là a un prix. Séparer la culture d'une gouvernance, c'est dire que la culture est une sorte de corporation», estime-t-il.


Que lit Stephen Harper? Dany BouchardLe Journal de Montréal

mercredi 14 octobre 2009

La sortie d'un grand de troisième année 1

Hier soir..au lit..ou dans la nuit, au lit ou en dehors....
Le ressaisissement est arrivé..comme un intrus et un invité en même temps.
Il a redressé mon corps en premier. Il papilloné dedans, comme un chatouillement du au dégel. L'espace était exigue mais existait
Si je n'étais pas un battant, je serais déjà mort.
Le papillon résiliant et immortel garde sa place, s'endort parfois longtemps..
mais jamais pour toujours.

Hier, j'ai parlé à mon employeur et à mon syndicat.
J'ai parlé au manque d'écoute lui-même.
À la suffisance, elle-même.
À l'inhumanité.
Il y a pas grande ouverture.
On propose de me réaffecter au secondaire.
Ou de mettre en congé sans solde.
Si je voulais retourner me perfectionner..
Pkoi pas, mais à mes frais seulement.

Ma déléguée syndicale a été véritablement active , au téléphone, avec moi, que lorsqu'il fut question d'argent, de salaire.
Elle déplora le fait que depuis jeudi dernier , je ne sois pas payé.
Elle ne s'occupera de moi qu'à cet égard.
Seulement.

Ce matin,j'ai annulé ma présence à la rencontre de demain.
Je ne crois pas qu'avec des gens bornés, quoi que ce soit de positif, de probant puisse en sortir.
Je n'ai pas la force non plus d'affronter mes juges, des bourreux. Des sortes de....

Je devrais être en congé sans solde, à compté de la semaine prochiane.

D'ici là..je pense prendre un arrête de l'enseignement.
Je ne sais plus trop où j'en suis.
Je dois gagner ma croûte.
Pour le minimum vital.

Je ne suis pas sans ressources.
Je peux travailler ailleurs, pour le moment...

pom po pommes






Petites pommes rouges, rondes et sucrées
Cueillies puis déposées dans un casier
Enfournées devenant tartes ou clafoutis
Moments d’été suspendus, englouties

Vous donnez à nos papilles ce goût
De jeunesse, de partage aux fruits d’août
Vous êtes un moment de délice
Qui se retrouvent dans les prémices

De la vie, du ton donné
De la saveur des journées
En mémoire revenue la sapidité
D’un fruit aux saveurs d’été.
ÓAnne-Marie Dewaele